Le journal illégal de Bakir Meyo

 

Salutation !

Je n’avais pas donné de nouvelles depuis quelques temps, mais j’ai le plaisir de vous annoncer la parution de mon deuxième roman.

Le journal illégal de Bakir Meyo est disponible dès aujourd’hui sur Amazon ! Il regroupe l’ensemble des récits de ce personnage, dont vous pouvez lire la première partie ici sur le blog, dans la catégorie qui lui est consacrée.

Vous pouvez vous procurer le roman complet en version numérique et papier. Il est également disponible à l’emprunt pour les abonnés Kindle. Il suffit de cliquer sur la couverture pour vous rendre sur la page de vente :

 

 

Ce livre est seulement accessible sur Amazon, en tout cas pour le moment. J’ai décidé de le publier chez eux pour plusieurs raisons, et entre autres, cela me donne l’occasion de participer au concours des Plumes francophones 2018. J’en profite pour remercier Marjorie de m’en avoir parlé ! Pour y inscrire un livre, l’une des conditions est de réserver l’exclusivité à Amazon jusqu’à la fin du concours, au mois d’octobre prochain.

Certains de mes lecteurs et lectrices peuvent être réfractaires à l’idée d’acheter leurs livres chez eux, aussi je vais commander quelques exemplaires papier. Si vous souhaitez acheter ce roman sans passer par Amazon, il suffit de me contacter : sandro@entombootis.com

 

Je vais étudier mes possibilités pour le diffuser sur d’autres sites de vente, quand le concours sera terminé. C’est le premier livre que je publie sans aucun intermédiaire, alors je ne me suis pas encore penché là-dessus sérieusement. D’autant que j’ai trois mois devant moi avant l’échéance… ce sera fait en son temps.

Ma priorité c’était d’abord de me familiariser avec leurs outils de publication, car cette fois, j’ai dû tout faire moi-même.

Je n’ai pas compté les heures que j’ai passées à lire des consignes techniques puis à les appliquer, à comprendre et corriger mes erreurs parfois, dans le but de réaliser les maquettes pour les deux versions, numérique et papier. C’est du boulot !

Par contre le gros avantage, c’est qu’en faisant tout soi-même ça ne coûte pas d’argent à l’auteur. Beaucoup de temps et d’efforts, mais je n’ai pas à payer pour publier mon travail. C’est ainsi avec l’auto-édition. Soit on apprend à tout faire, soit on paie d’autres personnes qui vont effectuer certaines tâches pour nous. Ça peut revenir cher.

 

 

Je me tourne donc au maximum vers le DIY (do it yourself).

Pas facile d’être à la fois écrivain, illustrateur, correcteur, maquettiste, éditeur… il faut y consacrer beaucoup de temps et d’énergie. Prendre du recul, être capable d’autocritique, se remettre en question, apprendre à utiliser de nouveaux outils, de nouvelles techniques. Rester zen et patient quand on bloque sur une étape 🙂

Mais cela apporte aussi l’avantage de l’indépendance, la possibilité d’avoir un meilleur contrôle sur le résultat final. Pour moi qui suis assez pointilleux sur les détails, c’est très intéressant. J’ai appris beaucoup de choses ces dernières semaines et même si c’était parfois fastidieux, j’ai trouvé tout ça passionnant.

Apparemment j’ai bien fait le job, car Amazon a accepté mes fichiers du premier coup, sans me demander la moindre retouche.

 

Le premier jet m’a occupé jusqu’au début du printemps, finalement. Alors je suis content d’avoir atteint l’objectif que je m’étais fixé de le publier cet été.

Dans un article précédent, j’avais annoncé que la version numérique du roman de Bakir Meyo ne dépasserait pas les 2 euros. En fait, pour participer à ce concours j’ai dû fixer le prix à 2,99 €. C’est le tarif minimum. La version papier quant à elle coûte 12 €.

 

J’ai fait de mon mieux pour assurer une certaine qualité à ce roman, avec le soutien aussi de trois personnes qui m’ont aidé à traquer les fautes, améliorer la syntaxe de certains passages, peaufiner la couverture et la présentation. Je ne les ai pas oubliées dans mes remerciements, à la fin du livre.

Cela dit, il peut toujours rester des petits défauts qui m’auraient échappés. Si vous en trouvez, n’hésitez pas à m’en faire part.

 

◊♦◊

 

J’espère que vous passerez de bons moments avec les récits et les réflexions de Bakir Meyo, si vous lisez ce roman. Il s’avère assez différent de mon premier, même s’il a lieu également sur Entom Boötis. Il m’a semblé intéressant d’aborder le même univers depuis un point de vue différent, en l’occurrence le Tharseim. Ce pays qui ressemble beaucoup à nos sociétés modernes, ou à ce qu’elles risquent de devenir…

Si vous préférez l’ambiance des Sœurs du Miel rassurez-vous, la suite est en cours de création. Elle sortira l’année prochaine si tout se passe bien.

 

Vos commentaires sont plus que bienvenus sur Amazon, pour aiderLe journal illégal de Bakir Meyo à se faire connaître auprès des autres lecteurs. Cela peut paraître anodin mais des avis positifs peuvent beaucoup influencer d’autres personnes dans leurs achats. Si vous avez des critiques, j’espère simplement qu’elles seront constructives.

Pour finir, voici la maquette de la couverture du livre broché. En cliquant dessus, vous irez aussi directement sur la page Amazon :

 

 

Merci pour votre soutien !

À bientôt.

 



 


4 Responses to Le journal illégal de Bakir Meyo

  1. Bravo Sandro, c’est génial ! Oui le fait de tout faire soi-même est fastidieux mais tellement gratifiant et on apprend beaucoup ! Je vais de ce pas regarder ça sur Amazon 🙂

    • Oui c’est gratifiant et on se rend mieux compte du travail que ça représente quand on le fait soi-même. Pour le premier j’avais fait l’illustration de couverture, mais pas du tout la maquette de l’ensemble (dos et 4ème) ni la mise en page intérieure. Même si je pouvais demander des retouches c’est différent.
      Merci Marjorie 🙂

  2. Avatar Marjorie Moulineuf
    Marjorie Moulineuf dit :

    Félicitations pour ce nouvel opus 100 % de ta patte ! Très heureuse de voir Bakir Meyo sortir du blog, comme tu le sais j’adore ce personnage. Tu peux compter sur moi pour laisser un commentaire. Encore bravo !

  3. C’est en partie grâce à toi que ce roman est publié aujourd’hui, merci beaucoup Marjorie !